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Juste pour te dire que LinuxPedia, même si plus maintenu, est tombé assez vite dans mes marque-pages alors que je cherchais de la doc sur openSUSE que je découvre à peine. Une bonne documentation peut-être plus complètement d'actualité mais qui reste utile.
Panne nationale du réseau SFR sévissant depuis environ 16h30 et persistante à cette heure (23h) je crois bien.
Des serveurs DNS saturés paraît-il et des solutions de contournement qui émergent... faut changer les serveurs DNS qu'il se dit.
Une panne générale? D'habitude je lache l'affaire et je patiente. Et puis ces histoires de serveurs et de DNS, je ne suis pas trop chaud pour m'en mêler d'ordinaire (bon... vous voyez le niveau maintenant).
Sauf que je viens à peine d'installer Leap sur ma tour en ethernet, c'est rageant. Les DNS? et je fais comment moi avec mon openSUSE toute fraîche (une distribution que je découvre depuis peu sur mon netbook par ailleurs)?
La solution n'a pas tardé à venir dès ma première recherche et à ma très grande surprise ici : SDB:Configure DNS (Méthode 1). Du sur-mesure! clair, concis et qui fonctionne
Bon... je me suis quand même un peu renseigné sur le serveur alternatif proposé par cette documentation (tant qu'à en jouer).
Oui, oui, le scanner fonctionne à présent derrière le pare-feu. Mais celui-ci est-il bien configuré?
Bon, maintenant je suis derrière une box qui a un pare-feu activé. La manip était donc peut-être superflue... sauf pour tenter de comprendre ce qui bloquait.
j'ai installé ma multifonction Canon MG6650 en wifi avec le pilote propriétaire pour l'imprimante et finalement avec celui des dépôts pour le scanner (pilote MG6600 Séries, répertorié comme "non testé" mais qui fonctionne).
Si j'active le pare-feu dans Yast, tel qu'il est réglé par défaut, je communique bien avec l'imprimante mais pas avec le scanner. Je crois qu'il y a une raison objective à cela (j'ai vaguement lu un truc à ce sujet)... ceci pour dire que ce n'est pas une anomalie à priori. Et les utilisateurs d'autres distributions rencontrent la même difficulté avec ce matériel.
Bien entendu, le pare-feu désactivé, tout fonctionne à merveille.
J'ai donc fait quelques recherches et trouvé des éléments d'information chez Canon et dans des docs Linux en ligne au sujet de la librairie sane-pixma dépendante du paquet sane-backends.
Bref, pour utiliser le scanner en wifi, il faut ouvrir le port 8612 dans le pare-feu.
Honnêtement, les réseaux, le pare-feu et moi, ca fait vraiment trois. Je ne suis pas du tout à l'aise avec tout ça.
Mais bon, je suis donc retourné voir le pare-feu dans Yast et j'ai ouvert le port 8612 en TCP et UDP dans la zone "public" qui est activée par défaut je crois bien (une zone méfiante si j'ai un peu compris quelques petits trucs). Et ça fonctionne, je communique avec le scanner, le pare-feu étant activé.
Maintenant, je ne suis absolument pas certain de ne pas avoir commis de boulettes.
Si quelqu'un de plus avisé pouvait me donner son avis, je suis preneur.
Sources : Bah en fait, la page de man de sane-pixma donne l'info pour les ports (je viens de m'en apercevoir).
Merci infiniment de vous préoccuper de l'état de mes finances : mais il me semble que vous êtes encore hors-sujet.
Je ne comprends pas que vous vous sentiez attaqué personnellement quand mon intention était, à demi-mots, de partager mon propre vécu et mes doutes quant à ma pratique de la photo numérique, une pratique qui s'est dans le passé davantage exprimée sur le web que sur papier (manque de temps, de moyens et de patience).
En amateur, on s'arrache à travailler ses photos dans les meilleures conditions possibles (écran calibré par exemple, et avec Argyll ce peut être long et fastidieux pour parvenir au bon résultat) mais si la finalité est de s'exposer sur le web, on peut se demander si le jeu en vaut la chandelle.
Calibrer son écran, ok, mais pour produire quoi? Et qui sera observé dans quelles conditions? En quoi est-ce encore (?) hors-sujet?
Il me semble d'ailleurs que le hors-sujet ait un moment précédé ma première intervention. Je me sens un peu censuré sur ce coup là
Pan sur le bec du partageux qui n'y reviendra pas (nouveau ici, cela ne me laisse pas rêveur).
Mon imprimante utilise le profil de Displaycal. Les tirages sont donc au poil près ce que je vois à l'écran. Je me suis résolu à imprimer moi-même parce que je suis extrêmement déçu de la mauvaise qualité des tirages fait par les labos. Et je parle en tant qu'ancien tireur couleur sur agrandisseur en laboratoire professionnel.
Là je ne comprends pas trop. DisplayCAL et Argyll CMS caractérisent ton écran, c'est à dire qu'ils sont censés corriger ton écran mais pas ton imprimante qui embarque peut-être déjà des profils ICC Imprimante/Papiers que tu sais indiquer et qui font le boulot (?).
L'oeil et l'expérience font peut-être aussi le job?
Il faut se décider en fonction de ses moyens financiers, de ces compétences et de ses attentes.
Précisément ce sur quoi je voulais attirer l'attention car une passion naissante... et les sirènes d'un marché aux aguets, peuvent avoir raison du bon sens.
Si on souhaite l'équipement dernier cri en matière de développement numérique : il vaut mieux être sous Windows ou O.S. Mac (pour éviter des jours de configuration) et avoir de 15000 à 20000 euros sur son compte bancaire (pour une pratique pro)
On ne le souhaite pas forcément au début... mais on peut être conduit à s'égarer et à se suréquiper.
Après un amateur peut contrôler le réglage de son écran (s'il souhaite publier ces photos sur le web) pour 80-250 euros.
On peut publier ses photos sur le web et remporter un certain succès pour 80-250 €, soit grosso-modo le prix d'un smartphone d'entrée ou de milieu de gamme. Je provoque intentionnellement car qui voit quoi et surtout comment sur le web? Sur quel type d'écran, réglé comment? Le web dans ce contexte est une belle vitrine pour les pros (on ne touche pas le produit mais on s'en fait un idée), un espace de jeux pour les autres.
Car ça a l'air bien utile de calibrer son écran si on fait de la photo ou autres travaux graphiques.
Bonsoir, Je reviens au coeur de la question en considérant la photographie. C'est beaucoup moins simple qu'il n'y paraît.
Calibrer son écran n'a de sens à mon avis que si l'on veut une concordance maximale entre le rendu écran et le rendu imprimé. Il faut alors penser en termes de labo photo numérique et acquérir le bon écran, la bonne sonde, la bonne imprimante ainsi qu'une bonne sonde pour elle aussi, le bon poste de travail avec la bonne luminosité ambiante... et j'en passe (je vous laisse chiffrer). Cela suppose aussi que l'on ambitionne une certaine expertise technique de la chaîne graphique (de la production ou du travail sur une oeuvre jusqu'à son exposition).
Pourquoi pas? me direz-vous. Alors soit, en avant! (mais ce peut être encore galère sous Linux pour pouvoir tout maîtriser de A à Z je pense).
Mais s'il s'agit uniquement de ne pas être trop déçu par nos tirages, je crois qu'il convient seulement de faire atttention à la luminosité de nos écrans et à celle de nos environnements quand on travaille une photo. On ne tient alors compte que d'un seul critère ajustable empiriquement.
Contrairement à ce qui est parfois dit, ce n’est pas la couleur du blanc qui est déterminante quand on compare l’affichage d’une image sur un écran avec une version sur papier, c’est sa luminance. Selon que la luminance maximale de votre écran d‘épreuvage est trop élevée ou trop faible, vos images imprimées seront trop sombres ou trop claires ! Attention, ce n’est pas le profil d’imprimante qui est en cause dans cette dérive des images imprimées, c’est seulement le calibrage de l‘écran.
Lequel calibrage de l'écran, pour un non-spécialiste pas forcément bien équipé, se limite alors au contrôle de sa luminosité
Sur Yast, ce qui est en bleu, ce sont les paquets qui vont être mis à jour, en vert, les paquets installés. Dans les paquets installés, les lignes en rouge signalent des paquets disponibles, en général plus anciens que le paquet installé. Le plus souvent, il s'agit de rpm téléchargés par l'utilisateur.
Le code général des couleurs de Yast / Gestionnaire de logiciels est assimilé sauf une petite pétouille bleue dans l'onglet "Versions" au regard d'un paquet de la version officielle quand celui-ci a été mis à jour par un dépôt tiers désactivé ensuite.
Je sens qu'on va faire des noeuds de marin avec cette affaire. On peut laisser comme ça pour le moment (à moi d'être attentif sans rester submergé d'angoisses de débutant).
Néanmoins tu as attiré mon attention sur quelques spécificités de la distribution et de son gestionnaire de logiciels. Merci
Si je laisse le dépôt tiers activé, il conserve la priorité des mises à jours sur les paquets installés depuis sa source si j'ai bien compris.
Dans Yast > installer et supprimer des logiciels, quand je consulte l'onglet "Versions" pour la glibc par exemple je vois aussi qu'il m'est possible de rétrograder vers la version des dépôts officiels.
Si je désactive le dépôt tiers, les versions de ses paquets installés sont colorées en rouge et dans l'onglet "Versions" pour un paquet donné, un point bleu apparaît au regard de la dernière version des dépôts officiels (dois-je en déduire que c'est alors celle-ci qui est candidate à une mise à jour?).
"Protégé... ne pas modifier" me semble plus délicat par contre car on gèle alors une version, au risque de traîner une viellerie qui pourrait déplaire à d'autres paquets se mettant eux régulièrement à jour.
Sauf avis contraire me signalant une erreur ou une mauvaise compréhension de ma part, je vais laisser le dépôt tiers activé pour le moment (puisqu'il est toujours possible de rétrograder). Je vais aussi être attentif aux mises à jour et voir ce qui tombe de temps en temps dans les dépôts officiels, des fois que leurs versions dépassent celle du dépôt tiers. Deux trois paquets à vigiler, c'est encore jouable.
Sinon, je n'ai pas constaté d'anomalie suite à ce changement de lib.
Bonjour et bienvenue du côté libre de l'informatique !
Nul doute qu'openSUSE te convaincra d'y rester.
Bonsoir et merci, Je tenais à te répondre.
Pour l'instant ça roule, je parviens à régler des problèmes mineurs (tiens! une clé USB en exFAT) ou majeurs (ma multifonction Canon qui imprime mieux avec le pilote propriétaire par exemple) ou d'autres encore avec des questionnements (une AppImage récalcitrante sous Leap). Avec un minimum d'attention je peux aussi virer KMail sans bazarder tout l'environnement de bureau, ce qui n'est pas toujours aussi aisé avec d'autres distributions (ceci dit j'aimerais bien utiliser KMail et KAdressBook... mais c'est un peu coton avec un compte Google, dans l'immédiat). Je trouve aussi plus de documentations que je ne l'imaginais.
Maintenant, il me faut aussi ré-apprendre, chaque distribution majeure possède sa logique. Cela se complique aussi un peu avec la digestion de KDE Plasma qui interfère... mais là j'essaie de faire au plus simple et c'est possible (si KDE est bien présenté de base, ce qui est le cas, il faut se limiter à modifier le nécessaire).
Mais oui, tu as raison, openSUSE, orthographe vérifiée , je pourrais bien y prendre goût... au delà de ce petit pc portable, c'est toute la question!
Je teste actuellement Infomaniak kDrive, un Cloud hébergé en Suisse et multiplateforme.
On peut installer une application de synchronisation qui est en AppImage pour Linux. Mais j'ai été un peu surpris de ne pas pouvoir lancer cette application en cliquant dessus sous Leap (ça passe bien sous Debian Stable par exemple, pour ne citer que cette distribution).
J'ai donc retenté mon coup en passant par le terminal et j'ai ainsi appris qu'il me manquait la glibc 2.27 (2.26 dans Leap, tout s'explique).
Mon AppImage fonctionne à présent mais tout nouvel utilisateur d'OpenSUSE je ne ne mesure pas encore les conséquences de mes actes d'autant qu'en plus j'ignore complètement l'importance de cette librairie pour le système.
Bon j'ai bien vu qu'un nouveau dépôt (de la communauté donc) avait été ajouté mais je ne comprends pas pour le moment non plus comment le système gère ça.
Bref, cette manipulation est-elle dangereuse pour la stabilité du système?
Cette histoire de Cloud est assez importante pour moi car j'ai peut-être trouvé une alternative à OneDrive, à la fois intéressante et peu coûteuse.
Je suis le mari de la célèbre Madame Michu... il était temps que je me manifeste, surprise!
Je bricole avec Gnu/Linux depuis Mandrake, sans aucune motivation professionnelle (c'est entendu je pense), mais je suis davantage conditionné par l'univers Debian depuis un certain nombre d'années.
Ma tour actuelle est encore sous Windows (les précédentes ne l'ont pas toujours été) et je vous avoue ne pas avoir de gros souci avec cet OS (il fonctionne pour moi). Mais je suis quand même bien tenté de faire le grand ménage.
Bref, le confinement passant par là dernièrement, acquisation faite d'un portable relativement récent, j'ai fait une petite tournée des popotes (en dur pour être sûr et façon Chumi... on oublie Slackware, Arch et Gentoo).
J'ai retardé l'approche d'openSuse (Suse a pourtant toujours été dans mon collimateur). Je me demande bien pourquoi aujourd'hui, en ayant opté pour KDE en plus? Plus de peur que de mal en somme. Je me suis lancé sur Leap ceci dit, qui me semble un choix raisonnable pour débuter et se remettre en question... avec le "Guide du débutant" d'Alionet dans l'onglet, ça aide beaucoup!
Je crois d'ailleurs avoir déjà commis quelques actions barbares, au moins une c'est sûr, avec des dépôts communautaires mais nous en reparlerons, comme d'autres choses que je découvre.
Re merci
