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J'avais essayé de reproduire exactement la même chose (première capture d'écran) et ça n'avait rien fait de mon côté. Bizarre.
Je vois que tu n'as défini aucune activité en plus de celle existant par défaut. Si ce n'est pas nécessaire pour toi de créer différentes activités, laisse tomber et passe plutôt par les liens symboliques.
Sauvegarde ton image ailleurs (sur une clé usb oar exemple) et vire là du bureau. Si ça la vire du dossier Image, tu as ta sauvegarde pour la réinsérer ensuite.
Quant aux liens Firefox, ce ne sont que des liens (symboliques d'ailleurs). Tu fais ce que tu veux avec.
Je n'arrive pas à reproduire ce que tu as fait ou tout au moins à parvenir au même résultat que toi. Mais je n'ai qu'une activité : Défaut.
Si je procède comme toi, il ne se passe rien en fait.
Je ne m'occupe pas de ces activités donc je suppose que tous mes fichiers sont liés à celle par défaut. As-tu défini plusieurs activités?
Ton intention de départ était peut-être seulement de créer un lien symbolique vers ton fichier image (la suppression de ce lien n'entraîne pas la suppression du fichier dans son dossier). Si c'est le cas il faut procéder différemment.
Depuis le bureau par exemple, clic-droit et choisir l'option Définir un lien vers un fichier ou un dossier
Point de détail : IceWM est installé par défaut avec openSUSE, comme une roue de secours en quelque sorte.
Maintenant, plus important, j'ai un doute sur ta façon de procéder avec les snapshots.
Quand on redémarre sur un snapshot, le système est en lecture seule. Si on ne fait rien de plus, au reboot on retombe forcément dans la situation problématique antérieure et non pas sur ce snapshot avec lequel tout semblait bien fonctionner en surface (mes applis démarrent, ok ça peut le faire). Si le snapshot convient, quand on est sur celui-ci, il faut alors consolider l'affaire avec cette commande :
Maintenant il est clair que tu as surtout un souci avec le dépôt Packman ainsi que l'expliquait Chalu. Si tu retrouves une certaine stabilité avec un snapshot "consolidé" (qui ne serait plus en lecture seule), tu peux suivre ses recommandations en autorisant le changement de fournisseur ou alors attendre que Packman rattrape son retard.
@LOD666 : Salut. openSUSE n'est nullement issue de la branche Arch. Quant aux lointaines origines de SUSE Linux, il faut regarder du côté de Slackware. Bon courage pour ton triple boot
@guiv : Bonsoir. Intéressant ton témoignage, Linux en pratique vu de l'autre côté du miroir. Ça fait réfléchir quant à l'avenir.
Citation de: guiv
Qu'on le veuille ou non Linux est très fragmenté. Comment voulez-vous vous en sortir ? Est-ce réaliste de trouver un mainteneur dans chaque distro pour lui générer son paquet adapté ?
Ce n'est effectivement pas un modèle de rationalité au regard du nombre effarant de distributions que nous connaissons aujourd'hui (pour rester dans la sphère Linux). Cette surproduction de systèmes représente aujourd'hui à mes yeux une sacrée dispersion pour ne pas dire un certain gâchis de la matière grise.
S'il est bien configuré, Discover prend en charge toutes les mises à jour, celles provenant des dépôts d'un côté ainsi que celles des flatpaks depuis Flathub.
Les flatpaks sont isolés du système car ils s'exécutent dans un environnement "bac à sable". Tu peux donc avoir dans ton installation la version d'un logiciel provenant des dépôts et le même en flatpak à côté.
Maintenant, de façon générale, il est quand même préférable de faire les mises à jour en ligne de commande. À la différence de Discover, en ligne de commande on différencie les mises à jour provenant des dépôts et celles des flatpaks.
@scooter33 : Bonjour. Je sais que l'auteur recommande cette façon de procéder pour mettre à jour son logiciel mais si tu ne t'en sors pas tu as le flatpak (à jour soit dit en passant).
C'est courageux Personnellement je n'arrive pas à me concentrer sur ce genre de prose, tout au moins sur un écran. Imprimé peut-être mais c'est très hypothétique.
Dans ta configuration de /etc/zypp/zypp.conf le système conserve les trois derniers noyaux. Je ne suis pas certain que le 6.9.9-1 soit présent parce que tu l'as inscrit en dur de cette façon :
## Default: Do not delete any kernels if multiversion = provides:multiversion(kernel) is set multiversion.kernels = latest,latest-1,latest-2,running,6.9.9-1-default
Le 6.9.9-1 n'est-il pas effectivement celui qui a précédé le 6.10.2-1, le latest-2 en fait? en consultant le fichier /var/log/zypp/history chez moi, il me semble bien que ce soit le cas (pas évident de s'y retrouver). Donc le 6.9.9-1 risquerait bien d'être supprimé lors d'une prochaine mise à jour du kernel.
Je ne m'explique pas pourquoi tu traînes toujours une version 6.4 ni ce qu'il adviendra d'elle si tu mets à jour.
Enfin, entretemps (je débarque un peu tard), tu as peut-être essayé de neutraliser le service purge-kernels ainsi que te le proposait oh!rocks.
Dernière chose, si tu ne désactives pas le service purge-kernels, je ne parie pas une seconde sur cette idée :
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Est ce que le simple fait de sauvegarder les 3 fichiers /boot du kernel 6.9 suffirait en cas de pépin ? c'est a dire que si je les sauvegarde en .BAK par exemple et je les restitue normal au cas où, ça fonctionne ?
Tu ne sauvegarderais que des entrées du GRUB (des pointeurs en fait) tandis que les kernels seraient eux bel et bien désinstallés.
Les éditeurs LaTeX sont aussi très bons (TexMaker, Lyx et Kile en particulier) mais il faut faire l'effort d'apprendre les rudiments de LaTeX qui est tout sauf intuitif.
Salut,
Il y a presque 20 ans j'avais commencé à apprendre LaTeX, à la dure (sans utiliser Lyx ou Kile mais avec Emacs). J'avais acheté deux gros bouquins de chez Dunod (dont un pour des exos), et je posais même des questions dans un newsgroup français dédié à LaTeX. Je trouvais passionnant le rapport de LaTeX à la typographie. Problème : je n'en avais aucune utilité Cela m'a seulement servi une fois à afficher un peu partout au boulot une belle lettre ouverte à l'un de mes directeurs. Le ton n'était pas symphatique mais l'emballage, la mise en forme et en page, extra! Aucun de mes collègues, et pas davantage le directeur que j'interpellais, ne soupçonnait ce qui m'avait rendu le plus fier dans la publication de cette lettre (la forme plus que le fond en fait ). Je serais incapable de m'y remettre aujourd'hui, vingt ans se sont écoulés
À ma bafouille précédente, j'ajouterai qu'Anki a été la découverte de l'année pour moi. Je l'utilise depuis quelques mois pour apprendre le néerlandais. Quelle idée! dans l'absolu, l'anglais que je ne parle pas me serait plus utile (y compris en Flandre ou aux Pays-Bas)... et combien de temps encore aurais-je le courage d'approfondir le néerlandais ? Maintenant, pour en revenir à Anki, ce logiciel est sacrément bien fichu mais très tyrannique en revanche. Faut pas rater un jour de révision et encore moins plusieurs (là j'arrête plus ou moins de le nourrir en prévision des vacances car je ne partirai pas seul).